Travail profil
Action de communication dans le département du Vaucluse : sensibilisation à la réduction de la vulnérabilité et utilisation du Fonds Barnier
AIRT - Etape 1 : Analyse intégrée de la résilience des territoires - Apports de l'Atelier National Xynthia en Charente Maritime
AIRT - Etape 1 : Retours d'Expérience post-catastrophes : Synthèse des enseignements pour améliorer la résilience des territoires
AIRT - Etape 1 : territoires à risques potentiels avérés
AIRT - Retour d'expérience risques avérés
Allo bonjour Tours-en-Savoie, vous êtes sur Radio Risques !
Apports de l'Atelier National Xynthia, Charente Maritime
Battre en retraite après Sandy : le quartier d’Ocean Breeze à Staten Island
Démarche RESAU² : Résilience des Acteurs de l'Urgence et Réseaux
Diagnostic de vulnérabilité des territoires aux inondations : Guide méthodologique
Exercice d'évacuation, Metz 2011
La Catastrophe d'AZF, Toulouse
La résilience des territoires : références bibliographiques
La résilience territoriale : un premier diagnostic
La résilience, un outil pour les territoires
Le bassin versant de Saint-Clément en Savoie : un bassin multi-risques
Le Mené : un territoire en mouvement qui a su "se prendre en main"
Le séisme de l’Aquila, Italie, 2009
Les inondations du Var, 15 & 16 juin 2010
Modification de La gestion post-catastrophe : un chantier complexe à anticiper - Aix-en-Provence - 28 mai 2013
Plateforme Mondiale pour la réduction des risques de catastrophes - Genève 21-23 mai 2013
Préparation à une crue majeure en région parisienne
… autres résultats
Les ingénieurs du Service Maritime décidèrent, dans ce contexte délicat, d'établir en 1830 le premier feu de la Coubre au sommet d'une petite tour faite d'une charpente de bois, et haute de 11 mètres. Un édifice en maçonnerie fut ensuite érigé en 1842, puis reconstruit en sapin en 1860 par crainte d'un effondrement. Deux nouveaux phares sont construits par la suite, l'un en maçonnerie en 1895, puis un autre très rapidement, en béton armé cette fois-ci, à partir de 1904. Celui-ci fut allumé le 1er octobre 1905, et devenait alors, avec le phare d'Eckmühl en Bretagne, le plus puissant de la côte atlantique.C'est le phare actuellement présent sur la pointe.
La construction actuelle n'est pourtant pas moins exposée que les précédentes au risque de déstabilisation de ses fondations. Entre 1895 et 2009, la distance entre le rivage et la position de l'actuel phare a diminué, passant de 3100 m (l'ouvrage actuel est situé à 1600 mètres de la position du phare de 1895, lui-même distant du rivage à l'époque de 1500 mètres) à 170 m (Source : Service Maritime de Charente-Maritime). Ce déplacement exceptionnellement rapide du rivage (en moyenne mais aussi ponctuellement car des études relatent l'observation par le passé d'un retrait de 100 m en deux heures...) a conduit les services de l'État à étudier des précautions à prendre dès à présent.